Nous garons la voiture sur le parking de la piscine d'Allemont. Il est 13 heures 45 quand se présente devant nous le barrage de Verney avec une bonne petite pente. Ce barrage de 45 mètres de hauteur et sa route avec deux virages.
Après avoir escaladé cette première montée nous arrivons sur le barrage, pour passer d'une rive à l'autre et ainsi suivre le bord du lac.
En le contournant, nous passons à côté de la centrale EDF et laissons sur la droite la route menant à la station de Vaujany. La route redescends un tout petit peu, pour se dresser maintenant devant nous.
Les choses sérieuses commencent. Avec deux bons kilomètres à plus de 10 %.
Au bout de 7 kilomètres nous arrivons au village du Rivier d'Allemont.
A partir du village en raison d'éboulis (il y a quelques années) le tracé de la route à complètement changé. Maintenant, il faut sur à peut prêt deux kilomètres redescendre une route en lacet. La pente est sévère ... et il va falloir la remonter au retour.
Une fois la descente effectuée, la pente se dresse à nouveau devant nous. Une pente droite et très raide. Plus d'un kilomètre à 11,1 %.
Une fois cette difficulté passée, nous sommes encore obligé de redescendre sur quelques centaines de mètres ... qu'il va falloir aussi remonter au retour. Heureusement bien moins raide.
Pour continuer, la route se remet aussitôt à se dresser devant nous avec 500 mètres à plus de 11 %.
Après ces passages assez difficiles, nous retrouvons une route aux pourcentages bien plus calme, entre 6 et 8 %. Certes parfois sur quelques mètres, du 10 voir du 11 % nous sont proposés, rendant notre ascension assez pénible.
Le pied du barrage de Grand-Maison se présente enfin à nous. Il est majestueux et imposant.
Nous arrivons au lac. C'est magnifique ...
Pendant trois kilomètres d'une légère pente, nous longeons le lac en le surplombant.
Pendant deux kilomètres, tout en continuant de longer le lac, nous redescendons. A ce moment là, nous changeons de département. Nous passons de l'Isère à la Savoie.
Le bout du lac.
L'ascension n'est pas terminée.
Il reste encore trois bons kilomètres avant d'atteindre le col du Glandon.
Au loin nous apercevons la dernière demeure (bar et restaurant) se trouvant à quelques mètres du sommet.
Au loin nous apercevons la dernière demeure (bar et restaurant) se trouvant à quelques mètres du sommet.
Même si ces derniers kilomètres sont bien moins raides que les autres, ils n'en paraisent pas moins durs. Il faut dire qu'un léger vent de face nous accompagne jusqu'au sommet.
Enfin le bar restaurant.
A gauche la route que nous devons prendre menant au col du Glandon et en face celle du col de la Croix de Fer.
Bien entendu, Philippe propose à Anne-Marie de faire les deux cols. Il n'est pas loin et il ne semble pas être très dur. Se serait dommage d'être là, si proche ...
Pour commencer, nous terminons la montée du Glandon. Au sommet une multitudes de parapentes nous acceuillent.
La pose traditionnelle au sommet
Petite pause au col, pour admirer le bal des parapentes face à la montagne.
L'autre pente du Glandon, celle partant de la Chambre. Au fond le col de la Madeleine.
Nous y sommes. La pente n'est finalement pas si raide que cela, mais après quelques heures de selle, la fatigue est là.
Après le village du Rivier d'Allemont, Philippe décide de prendre une route sur la droite indiquant Allemont (le village). Une petite route ombragée, longeant le lac sur l'autre rive.
Après ce petit arrêt, nous repartons afin de satisfaire les envies de Philippe ... et celles d'Anne-Marie ... aussi.
Trois kilomètres à 6 %, c'est loin d'être terrible et oh combien magnifique.
Très vite nous sommes au sommet.
Une vue magnifique sur l'autre versant. Cette ascension se fait aussi par Saint Jean de Maurienne, bien moins durs.
Après 31 kilomètres et 3 heures de vélo, nous entamons le retour à Allemont.
Après 31 kilomètres et 3 heures de vélo, nous entamons le retour à Allemont.
Passage devant les éboulis ayant condamné l'ancienne route.
Nous y sommes. La pente n'est finalement pas si raide que cela, mais après quelques heures de selle, la fatigue est là.
Après le village du Rivier d'Allemont, Philippe décide de prendre une route sur la droite indiquant Allemont (le village). Une petite route ombragée, longeant le lac sur l'autre rive.
Anne-Marie tire la langue ...